Pokémon Émeraude est un jeu vidéo officiel sorti sur la Nintendo GameBoy Advance (abrégée GBA). C'est un jeu Pokémon "classique", dans le sens où c'est un jeu de rôle (RPG, Role Playing Game) en tour par tour en 1 contre 1 ou 2 contre 2. C'est la version améliorée de Pokémon Rubis et Saphir. Ça se passe dans la région d'Hoenn. En terme de pokémons, il y a jusqu'à la 3ème génération comprise, soit en tout 386 espèces dans le pokédex national.
Pokémon Émeraude Plus est une version dérivée et non-officielle. Ça été fait par quelqu'un usant du pseudonyme Tédam sur Pokémon Trash et TDAMO1 sur l'écran de démarrage du jeu. Le but de celle-ci est d'être une version améliorée de l'originale. Par exemple, on ne pouvait pas avoir tous les pokémons au sein du jeu, alors que c'est là apparemment possible, y compris en ce qui concerne les légendaires, et les pokémons qui évoluent normalement par échange le font sans dans ce jeu modifié. Un mode nuzlocke au choix a été ajouté, mais aussi la possibilité d'ajout de hasard. De plus, des niveaux de difficulté ont été introduits : 1 qui ne modifie rien par rapport au jeu de base, 2 qui augmente le niveau des ennemis de 33% et 3 qui augmente le niveau des ennemis de 66%. Anecdotiquement, on peut noter le changement de couleur du personnage que l'on incarne et du rival ou de la rivale, passant du vert (jeu original) au bleu (version plus), ainsi que le remarquable rayquaza chromatique de l'écran titre.
Ce qui suit sert à vérifier que vous avez une ROM correcte. Il se peut en effet malheureusement, bien que ce soit à priori improbable, que vous ayez un fichier de ROM corrompu. Dans ce vraisemblablement très peu probable cas, le jeu pourrait globalement ou seulement à certains moments ne pas fonctionner comme prévu, d'où l'utilité qu'on peut trouver de vérifier que ça corresponde à un ou plusieurs identifiants de contrôle.
Sous GNU/Linux, et probablement *BSD aussi, dans un terminal textuel, il suffit généralement d'écrire en minuscule le nom de la méthode de sommation de contrôle et d'y ajouter "sum" à la fin, puis avec un espace (ou autre chose si vous avez eu l'idée saugrenue de modifier la variable IFS, Internal Field Separator) et ensuite le chemin vers le fichier dont vous souhaitez la somme de contrôle. Il existe aussi probablement des interfaces graphiques et de quoi faire sur Android, Windows, macOS, et autres.
Version | MD5 | SHA1 |
---|---|---|
3.0 RTC | 3c5499d797cec79d9d58906fac494299 | a0a1707fb7b3d9a768dd137437ae531fd7aa8a08 |
Attention : Sachez que des éléments de l'intrigue sont révélés. Les lire avant de les avoir vécu en jeu pourrait vous gâcher une partie du plaisir.
Le jeu original ne propose que parmi 3 pokémons introduits avec la 3ème génération : poussifeu (feu), gobou (eau), arcko (plante). Cette hackrom propose les 3 pokémons de départ de chaque génération, de la première à la troisième. Mais ce n'est pas tout, il y a aussi la possibilité de se voir proposer 3 pokémons non-évolués au hasard avec une attaque offensive.
Numéro de génération | Pokémon de départ | Évolution finale |
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1 | Salamèche | Dracaufeu |
2 | Héricendre | Typhlosion |
3 | Poussifeu | Braségali |
Numéro de génération | Pokémon de départ | Évolution finale |
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1 | Carapuce | Tortank |
2 | Kaiminus | Aligatueur |
3 | Gobou | Laggron |
Numéro de génération | Pokémon de départ | Évolution finale |
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1 | Bulbizarre | Florizarre |
2 | Germignon | Méganium |
3 | Arcko | Jungko |
À Pacifville, vous pouvez obtenir un oeuf de starter ! Le pokémon qu'il contient est déterminé au hasard, à part si le premier pokémon de votre équipe porte un objet jugé correspondre au pokémon par le créateur.
Une ROM pour GameBoy Advance a souvent ".gba" pour extension. Ce n'est pas un format compressé, donc on peut vouloir compresser pour économiser de la place (par exemple avec GZIP ou BZIP2), mais les émulateurs ne gèrent pas nécessairement le fait de décompresser tout seul et d'une manière transparente les jeux compressés et ne gèrent que certains formats de compression pour ceux ayant cette fonctionnalité.
mGBA est un émulateur libre pour la GameBoy Advance. Il fonctionne sur des systèmes d'exploitation "classiques" (au moins GNU/Linux, *BSD, Windows et macOS) et aussi sur des consoles de jeu (Nintendo Wii, Nintendo 3DS et Nintendo Switch, ainsi que la PlayStation Vita !). Il a un frontal en Qt et un autre en SDL. Son code source est mis à disposition selon la Mozilla Public License Version 2.0.
VisualBoyAdvance est un émulateur pour la GameBoy Advance sous licence publique générale GNU 2.0 (c'est donc du logiciel libre). Malheureusement il est au point mort, mais il existe des versions dérivées qui continuent le développement (dont VBA-M). Il a un frontal basique en SDL et un autre plus riche en GTK.
VisualBoyAdvance-M est une suite de VisualBoyAdvance. Il y a un frontal en SDL et un autre en WxWidgets (qui remplace celui en GTK).
Le code source est disponible sur GitHub de Microsoft. C'est du C++ et CMake est utilisé pour la construction, ça n'a donc rien de surprenant. Si on fait la compilation et l'installation soi-même, checkinstall permet d'installer proprement sous la forme d'un paquet et permettra ainsi de désinstaller simplement avec le gestionnaire de paquets du système d'exploitation.
Mednafen est un émulateur pour plusieurs machines, dont la GameBoy Advance de Nintendo. Pour cette dernière, il n'a pas de moteur d'émulation propre et en a donc repompé un tiers qui est libre. Il utilise OpenGL et SDL. C'est un logiciel libre. Il utilise de multiples licences d'après le paquet Debian (dont la GPLv2 et la LGPLv2).
Les émulateurs reconnaissent généralement, si ce n'est toujours, bien le clavier et la souris. En revanche, c'est moins souvent le cas pour les manettes, en particulier pour les émulateurs qui sont morts depuis plusieurs années. Pour contrer cela, on peut faire en sorte que les touches d'une manette agissent comme un clavier, en associant chaque touche voulue de la manette à une touche d'un clavier.
QJoyPad est un logiciel libre qui permet de faire cela. Au moment d'écrire ces lignes (c'est-à-dire en début 2020), le ou les gens le faisant n'ont la prétention que de gérer les systèmes GNU/Linux avec X, mais il est à priori probable d'arriver à le faire tourner sur un système BSD avec X. À moins que cela change à l'avenir, il ne gérerait donc pas Wayland. Il est fait avec Qt, d'où son nom. Pour ce qui est de la licence, c'est à 100% de la GPL.
Ce document (dont son code source) a été fait par Nicola Spanti. Il est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons BY-SA 4.0, la licence de documentation libre GNU 1.3 et la licence publique générale GNU (version 2.0 et 3.0). Vous pouvez choisir la licence qui vous convient le plus et dans la version que vous préférez si plusieurs sont proposées. Les licences citées autorisent l'utilisation pour tous les usages, la modification, et le partage quelque soit la forme (code HTML, PDF, impression papier, etc.) et le canal (Internet, clé USB, brochure, journal, livre, etc.) dont sa nature (centralisé, pair-à-pair, commercial, etc.) que cela soit une version originale ou modifiée.