One Piece Pirate Warriors 3 est un jeu vidéo privateur fait pour faire du profit. C'est un jeu de combat de masse (à contrario par exemple de One Piece Unlimited World Red), c'est-à-dire qu'il vous fait affronter plein d'adversaires en même temps. Comme souvent avec ce type de jeu, c'est sans coupure, pas de tour par tour ou autre truc du genre, c'est donc un jeu énergique (mais vous pouvez heureusement le mettre en pause).
Au-delà du type du jeu, sa spécificité est bien sûr la licence sur laquelle il s'appuie, One Piece. Vous retrouverez donc un certain nombre d'éléments de ce célèbre manga : personnages, décors, histoire, etc. Comme souvent, ça aurait pu être plus exhaustif, la license aurait pu être plus exploitée, mais ça aurait coûté plus cher et, dans un contexte commercial, il n'est pas idiot de se laisser de la marge pour un des éventuels contenus supplémentaires et/ou un ou plusieurs autres jeux du même genre s'appuyant sur la même licence. D'ailleurs, One Piece Pirate Warriors 3 a une suite (le nom va vous surprendre) : One Piece Pirate Warriors 4 (dont le mode scénario va plus loin pour chaque arc, mais en en traitant moins en retour ; sa date de sortie étant postérieure, il traite des arcs qui n'existaient pas à l'époque du 3).
Le mode légende est le mode histoire. Vous y suivez donc l'histoire du manga et devez la faire dans l'ordre. Pour chaque niveau, vous est imposé d'en choisir un parmi une liste, contrainte qui n'existe pas dans le mode libre.
Le mode libre est presque comme le mode légende. C'est en effet les même niveaux, mais il faut faire le niveau en mode légende pour avancer. La liberté consiste en la possibilité de pouvoir jouer avec n'importe quel personnage que vous avez débloqué.
Le mode rêve se présente comme un ensemble d'iles avec un niveau partiellement défini sur chacune d'elle. Chaque ile est reliée à au moins une autre et vous ne pouvez aller sur une ile que si vous avez déjà terminé une ile reliée à elle.
Les catégories sont celles du jeu. Il en est de même pour l'ordre, autant celui entre les catégories que celui au sein des catégories.
Avant de pouvoir monter au-delà du niveau 50 (et jusqu'au niveau 100), il faut préalablement avoir débloqué cette possibilité pour le personnage. Cela se fait via des pièces en or (qu'on ne peut avoir qu'en un seul exemplaire, mais dont l'usage est illimité). Les pièces diffèrent en fonction du personnage, tout comme le nombre de pièce. Une fois que vous avez débloqué le fait que le personnage puisse aller au-delà du niveau 50, il y a petit signe à gauche du libellé de son niveau.
Jusqu'au niveau 50 compris, il était possible de monter de niveau via l'argent (à condition qu'au moins un autre personnage soit déjà au moins à ce niveau). Au-delà du niveau 50, ce n'est plus possible. Pour monter de niveau au-delà du niveau 50, il faut donc gagner de l'expérience, donc utiliser le personnage (à condition d'avoir préalablement débloqué pour ce personnage la possibilité d'aller au-delà du niveau 50).
Les personnages ci-dessous auraient pu faire partie du jeu, et certains ont d'ailleurs été présents dans un ou plusieurs autres jeux vidéos One Piece (comme Gigant Battle 2 sur NDS), mais ils ne sont pas dans celui-ci. Nous incluons là les personnages qui ont une présence dans le jeu, mais ne peuvent pas intervenir sur le terrain. En revanche, nous excluons les personnages qui n'existaient pas à la sortie du jeu ou étaient trop peu décrits.
Tous les émulateurs ci-dessous sont du logiciel libre, et le cas échéant c'est une erreur de notre part. De plus, ils fonctionnent sur au moins un système d'exploitation libre ou au moins en grande partie libre.
yuzu était un émulateur libre pour Nintendo Switch. Il fonctionne au moins sur GNU/Linux (Trisquel, PureOS, Hyperbola, Debian, etc.), ainsi que Microsoft Windows et Apple macOS que nous vous déconseillons tous 2 fortement car c'est du logiciel privateur.
yuzu ne cherche pas à être une solution clé en main,
car l'émulation de jeux officiels nécessitent
des clés de déchiffrement
qui ne peuvent pas partout être distribuées légalement.
Si vous avez une console Nintendo Switch
et que vous en avez fait voler en éclat le joug de Nintendo,
vous pouvez les extraire,
puis les fournir à l'émulateur.
De nouveaux clés officielles apparaissent
avec les mises à jour
du système d'exploitation d'origine (dit Horizon)
et les nouveaux jeux peuvent les nécessiter,
donc il peut falloir récupérer
un ensemble plus récent de clés.
Une fois que vous avez cet ensemble de code
(sous la forme d'un ficher prod.keys
et d'un fichier title.keys
),
ouvrez yuzu, puis ouvrez le menu "Fichier",
afin de lui faire ouvrir son dossier,
dans lequel vous devrez mettre les fichiers.
Si vous en aviez déjà forni,
au cas où vos nouveaux fichiers seraient mauvais,
n'écraser pas les existants
(par exemple en les mettant dans un sous-dossier
ou en en changeant le nom)
tant que vous n'avez pas vérifié
que les nouveaux fonctionnent.
Si votre machine n'arrive pas ou que très occasionnellement à tenir le rythme du 100% de FPS, il est conseillé d'en réduire la proportion, afin que la machine ne chauffe pas trop ou trop vite. Passer de 100% à 83% reste raisonnable du point de vue de l'expérience de jeu. Pour ce faire, dans la barre de menus, allez dans "Emulation" puis "Configure", ce qui ouvre une fenêtre modale. Dans celle-ci, soyez dans la partie "General" et en son sein dans l'onglet "General". Cochez "Limit Speed Percent" et indiquez une valeur nettement inférieure à 100%.
Ryujinx est un émulateur libre pour Nintendo Switch. Toutefois, il nécessite le SDK .NET de Microsoft, qui est lui probablement privateur (peut-être pas son code source, mais les binaires pourraient ne pas correspondre et la compilation est probablement ardue) à contrario de Mono, donc nous recommandons yuzu. Il fonctionne au moins sur GNU/Linux (Trisquel, PureOS, Hyperbola, Debian, etc.), ainsi que Microsoft Windows et Apple macOS que nous vous déconseillons tous 2 fortement car c'est du logiciel privateur.
Ce document (dont son code source) a été fait par Nicola Spanti. Il est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons BY-SA 4.0, la licence de documentation libre GNU 1.3 et la licence publique générale GNU (version 2.0 et 3.0). Vous pouvez choisir la licence qui vous convient le plus et dans la version que vous préférez si plusieurs sont proposées. Les licences citées autorisent l'utilisation pour tous les usages, la modification, et le partage quelque soit la forme (code HTML, PDF, impression papier, etc.) et le canal (Internet, clé USB, brochure, journal, livre, etc.) dont sa nature (centralisé, pair-à-pair, commercial, etc.) que cela soit une version originale ou modifiée.