One Piece Pirate Warriors 4 est un jeu vidéo privateur fait pour faire du profit. C'est un jeu de combat de masse, c'est-à-dire qu'il vous fait affronter plein d'adversaires en même temps. Comme souvent avec ce type de jeu, c'est sans coupure, pas de tour par tour ou autre truc du genre, c'est donc un jeu énergique (mais vous pouvez heureusement le mettre en pause).
Au-delà du type du jeu, sa spécificité est bien sûr la licence sur laquelle il s'appuie, One Piece. Vous retrouverez donc un certain nombre d'éléments de ce célèbre manga : personnages, décors, histoire, etc. Comme souvent, ça aurait pu être plus exhaustif, la license aurait pu être plus exploitée, mais ça aurait coûté plus cher et, dans un contexte commercial, il n'est pas idiot de se laisser de la marge pour un des éventuels contenus supplémentaires et/ou un ou plusieurs autres jeux du même genre s'appuyant sur la même licence. Il a d'ailleurs un prédécesseur avec des consoles en commun : One Piece Pirate Warriors 3 (qui comprend tous les grands arcs du moment de sa sortie, mais qui traitait les arcs plus rapidement que ne le fait son successeur).
Les catégories sont celles du jeu. Il en est de même pour l'ordre, autant celui entre les catégories que celui au sein des catégories.
Tous les émulateurs ci-dessous sont du logiciel libre, et le cas échéant c'est une erreur de notre part. De plus, ils fonctionnent sur au moins un système d'exploitation libre ou au moins en grande partie libre.
yuzu était un émulateur libre pour Nintendo Switch. Il fonctionne au moins sur GNU/Linux (Trisquel, PureOS, Hyperbola, Debian, etc.), ainsi que Microsoft Windows et Apple macOS que nous vous déconseillons tous 2 fortement car c'est du logiciel privateur.
yuzu ne cherche pas à être une solution clé en main,
car l'émulation de jeux officiels nécessitent
des clés de déchiffrement
qui ne peuvent pas partout être distribuées légalement.
Si vous avez une console Nintendo Switch
et que vous en avez fait voler en éclat le joug de Nintendo,
vous pouvez les extraire,
puis les fournir à l'émulateur.
De nouveaux clés officielles apparaissent
avec les mises à jour
du système d'exploitation d'origine (dit Horizon)
et les nouveaux jeux peuvent les nécessiter,
donc il peut falloir récupérer
un ensemble plus récent de clés.
Une fois que vous avez cet ensemble de code
(sous la forme d'un ficher prod.keys
et d'un fichier title.keys
),
ouvrez yuzu, puis ouvrez le menu "Fichier",
afin de lui faire ouvrir son dossier,
dans lequel vous devrez mettre les fichiers.
Si vous en aviez déjà forni,
au cas où vos nouveaux fichiers seraient mauvais,
n'écraser pas les existants
(par exemple en les mettant dans un sous-dossier
ou en en changeant le nom)
tant que vous n'avez pas vérifié
que les nouveaux fonctionnent.
Si votre machine n'arrive pas ou que très occasionnellement à tenir le rythme du 100% de FPS, il est conseillé d'en réduire la proportion, afin que la machine ne chauffe pas trop ou trop vite. Passer de 100% à 83% reste raisonnable du point de vue de l'expérience de jeu. Pour ce faire, dans la barre de menus, allez dans "Emulation" puis "Configure", ce qui ouvre une fenêtre modale. Dans celle-ci, soyez dans la partie "General" et en son sein dans l'onglet "General". Cochez "Limit Speed Percent" et indiquez une valeur nettement inférieure à 100%.
Ryujinx est un émulateur libre pour Nintendo Switch. Toutefois, il nécessite le SDK .NET de Microsoft, qui est lui probablement privateur (peut-être pas son code source, mais les binaires pourraient ne pas correspondre et la compilation est probablement ardue) à contrario de Mono, donc nous recommandons yuzu. Il fonctionne au moins sur GNU/Linux (Trisquel, PureOS, Hyperbola, Debian, etc.), ainsi que Microsoft Windows et Apple macOS que nous vous déconseillons tous 2 fortement car c'est du logiciel privateur.
Ce document (dont son code source) a été fait par Nicola Spanti. Il est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons BY-SA 4.0, la licence de documentation libre GNU 1.3 et la licence publique générale GNU (version 2.0 et 3.0). Vous pouvez choisir la licence qui vous convient le plus et dans la version que vous préférez si plusieurs sont proposées. Les licences citées autorisent l'utilisation pour tous les usages, la modification, et le partage quelque soit la forme (code HTML, PDF, impression papier, etc.) et le canal (Internet, clé USB, brochure, journal, livre, etc.) dont sa nature (centralisé, pair-à-pair, commercial, etc.) que cela soit une version originale ou modifiée.