Nicola Spanti et les animaux non-humains
Nicola Spanti est un homme blanc né à la fin du 20ème siècle en France. Il est en faveur des droits humains, de la propriété d'usage des moyens de production, du partage, du logiciel libre (dans un monde avec informatique), du respect de la vie privée, de l'État de droit s'il y a un État, de l'anti-xénophobie, de l'anti-racisme, de l'anti-sexisme et de l'anti-lbgtophobie.
Position sur l'animalisme
Sur le principe, il est pour l'abolition de l'exploitation des animaux, humains et non-humains. Il est certain que l'exploitation de l'humain par l'humain n'est pas nécessaire, tandis qu'il a des doutes pour l'exploitation des animaux non-humains par l'humain sur le long terme (de par les contraintes environnementales). Il est en grande partie d'accord avec Gary Francione pour ce qui est de l'animalisme.
Sur la violence
Bien qu'il soit pour un idéal sans violence (aussi bien sous la forme physique que symbolique), il n'est pas pour envisager de ne jamais utiliser la violence par principe. Il est néanmoins en faveur que l'usage potentiel de la violence soit murement réfléchi (avant une potentielle violence, mais également pendant et après), à part bien sûr dans le cas d'une situation de survie nécessitant une réaction instantanée ou presque. De plus, il pense qu'il faut, d'une manière générale mais pas systématique, utiliser autant que possible des moyens non violents.
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Il a quelques désaccords avec
l'article (publié le 23 juillet 2009)
par Gary Francione intitulé
"On Vivisection and Violence"
(qui a été traduit en français avec le titre
"Sur la vivisection et la violence").
- Nicola est en désaccord avec le fait de rejeter nécessairement la violence indirect (la violence directe, dans ce contexte, étant la violence physique sur un corps de sentient), tandis que Francione rejete la violence sous toutes ses formes pour des raisons morales.
- Gary Francione affirme que certains personnes ont agi avec violence contre des personnes testant sur les animaux. Or Nicola déplore la confustion entre les violences contre les personnes et celles contre un système (dans ce cas le système spéciste). Par exemple, les actions légitimement revendiquées d'ALF (Animal Liberation Front) peuvent engendrer des dégradations matérielles mais pas de violence physique sur les individus. Certes cela peut heurter psychologiquement les individus, mais cela reste pacifique et n'empêche pas la reproduction matérielle des individus puisqu'il y a d'autres moyens (que la vivisection et plus généralement l'exploitation des animaux non-humains) pour obtenir ce qui est nécessaire à la survie (du moins dans le cas décrit par Francione, puisque la majorité des tests sur des animaux non-humains sont à priori faits dans des pays où il est facile de se procurer de la vitamine B12 produite en laboratoire par des micro-organismes et donc sans exploiter des animaux non-humains).
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Gary Francione déplore que
Les actes d'un petit nombre de personnes ont permis à une presse réactionnaire […] de créer l'impression que ceux qui s'opposent généralement à l'exploitation animale sont de violents misanthropes qui attachent de la valeur à la vie des animaux mais qui se moquent de la vie humaine
. Nicola Spanti fait remarquer que le même commentaire (sans la partie violence) peut être fait sur les anti-vivisections (dant Gary Francione fait parti) qui peuvent sembler privilégier la vie des animaux non-humains à celles des humains (alors qu'en réalité, vraisemblablement au moins pour la plupart, ils appliquent le principe d'égale considération morale). De plus, Nicola prétend que la grille de lecture appliquée par des journalistes à un fait n'est nullement de la responsabilité de la personne ou des personnes ayant engendrée(s) le fait, à moins qu'il(s) ai(en)t indiqué celle-ci (la grille de lecture) avec le fait ou via le groupe qui le revendique. - Gary Francione prétend que les non-véganes demandent des produits issues de l'exploitation des animaux non-humains. Nicola Spanti objecte que, bien que ce soit vrai dans de nombreux cas, ce n'est pas toujours le cas. Par exemple pour les cosmétiques, certaines personnes ignorent que des animaux non-humains ont été utilisés et d'autres qui n'ont aucun problème avec ceux véganes (qui ne contiennent aucun produit issu du corps des animaux et aucun produit ayant été testé sur au moins un animal non-humain, c'est-à-dire ceux étant "véganes" et "sans cruauté" dans la novlangue marchande qui peut considérer que l'on peut être l'un sans l'autre) mais qui ont la paresse d'en chercher systématiquement qu'ils le soient. Un cas plus flagrant est les médicaments, pour lesquels il n'existe presque aucune alternative non théorique (du moins jusqu'au début du 21ème siècle dans la médecine "à l'européenne", puisqu'il y a des pharmacies galéniques dans certains pays et d'autres types de médecine comme certaines plus empiriques et plus communes dans d'autres parties du monde comme la Chine et l'Inde), il est donc encore une fois problématique de baser exclusivement le raisonnement sur la demande.
- Pour conclure, Nicola Spanti doute que la non-violence soit dans tous les cas la meilleure manière d'arriver à un monde moins violent et peut être un jour sans violence (bien qu'il juge malheureusement fort probable qu'il soit impossible de totalement l'éradiquer, ce qui n'empêche pas pour autant de s'en rapprocher le plus possible). Cependant il juge que la violence (notamment physique) est, au moins dans bien des cas, contre-productive. Il objecte que des événements violents (contre une violence plus grande et pouvant donc être perçus comme de la légitime défense) ont parfois permis d'instaurer un système moins violent et non dictaturale, comme l'instauration de la république en France à la fin du 18ème siècle (qui malgré que cela est mené à une république bourgeoise a été un progrès significatif par rapport à la royauté, même si à cette époque il y avait déjà des idées plus progressites pour Nicola comme certaines portées par la Conjuration des Égaux dont François Noël Babeuf / Gracchus Babeuf et Sylvain Maréchal ont été des membres notoires). ou la révolution sociale espagnole de 1936 (qui a certes été suivie d'une réponse violente faite par des opposants et opposantes), mais pas comme l'extension du 3ème Reich (d'Adolf Hitler) et pas comme la colonisation autoritaires de territoires déjà occupés par des humains (comme l'impérialisme français et anglais en Afrique, mais certainement pas comme les gens cherchant à s'installer autrepart pour fuir la misère matérielle ou la dictature).
Sur la décroissance de l'écologie
Sur l'effondrement de la civilisation industrielle
Certaines personnes pronostiquent
l'effondrement de la civilisation industrielle.
Un livre connu sur la question est
"Comment tout peut s'effondrer - Petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes",
qui a été écrit par Pablo Servigne
et Raphaël Stevens.
Le document de "référence" sur le sujet
(ou du moins un des plus connus et vieux)
est un rapport du Club de Rome
sur les limites de la croissance
(du système économique dominant
depuis au moins le 20ème siècle)
qui est intitulé
Les limites de la croissance (dans un monde fini)
(aussi connu en français sous le nom
Halte à la croissance ?
ou The Limits To Growth
dans sa version originale qui est en anglais)
et aussi connu sous l'appellation de rapport Meadows
.
Pour un aperçu très rapide de
comment un effondrement de la civilisation industrielle
pourrait se concrétiser
(qui peut paraitre fou,
notamment si on n'a pas posément pris le temps
de comprendre le pourquoi),
il y un article de Libération
du 23 août 2017
de Yves Cochet
qui se nomme "De la fin d'un monde à la renaissance en 2050".
En janvier 2018,
après la lecture du livre
"Nourrir l'Europe en temps de crise"
(dans sa version 2017) de Pablo Servigne,
il a jugé que les constats de la partie 1 [sur le potentiel effondrement] me paraissent loin d'être invraisemblables
.
Si un effondrement brutal de
la civilisation industrielle venait à se réaliser
qui pourrait conduire à des famines
dans les pays dits usuellement "riches" ou "développés",
l'exploitation des animaux non-humains pourrait redevenir
indispensable à la survie partout dans le monde.
En effet, la production de vitamine B12 en laboratoire
pourrait ne plus être possible
et les animaux non-humains peuvent être fortement utiles
pour l'agriculture dans une société ne se basant plus
ni sur des énergies fossiles
ni sur des énergies probablement pseudo-renouvables
(plaques solaires, éoliennes, etc.)
comme l'explique des permaculteurs et permacultrices
(comme David Holmgren
dans son livre "Permaculture: Principles and Pathways Beyond Sustainability"
qui a été traduit et publié en français en tant que
"Permaculture - Principes et pistes d'action pour un mode de vie soutenable"
en 2014 et
en 2017).
Si cette hypothèse d'un effondrement
de la civilisation industrielle
venait à se réaliser,
Nicola pense qu'il est fort probable
qu'il faille revenir à l'exploitation des animaux non-humains
pour survivre (à minima à cause de la vitamine B12).
Dans ce contexte, il pense qu'il faudra néanmoins
les exploiter le moins possible et
faire en sorte de les tuer
(s'il y a nécessité de survie de le faire
puisqu'il y a par exemple la lait, les oeufs et le miel
qui ne le nécessitent pas,
bien que ce serait bien moins productif
sans la mort pour les 2 premiers)
de la manière la moins cruelle
(puisqu'il pense qu'il n'y a pas de moyen compassionnel
de tuer un individu qui ne l'a pas voulu et
que l'envie de survivre n'enlève pas le caractère cruel
même si ce n'est pas par habitude et/ou plaisir gustatif).
De plus, il argue qu'il sera toujours possible
d'être végane dans ce contexte
si on utilise la définition de
la Vegan Society
(
Le véganisme est une façon de vivre
qui cherche à exclure, autant que faire se peut,
toute forme d'exploitation et de cruauté envers les animaux,
que ce soit pour se nourrir, s'habiller,
ou pour tout autre but.
),
bien que ce sera différent puisqu'il faudra au moins un peu
exploiter les animaux non-humains pour survivre.
Nicola pense que certains des anti-spécistes les plus radicaux
pourraient préférer mourir plutôt que
revenir à l'exploitation des animaux non-humains,
ce qu'il juge courageux et noble,
bien qu'il pense que ce ne sera pas une raison assez forte
pour qu'il se suicide personnellement.
Pour retarder l'exploitation personnelle des animaux non-humains (si un effondrement brutal venait à se produire), il juge judicieux de faire des stocks de vitamine B12. De plus, il pense que même si on se fiche compassionnellement des animaux non-humains, prévoir des stocks de vitamine B12 est judicieux, puisque bien trop d'animaux d'élevage sont issus d'une sélection pour vivre en élevage industriel (et seraient donc probablement peu résistants dans d'autres conditions) et qu'il y a un risque d'une ruée survivaliste qui pourraient drastiquement réduire le nombre d'animaux (pour le coup pas nécessairement que les non-humains) qui pourraient entrainer par la suite un manque de produits alimentaires animaux pouvant résulter en des carences graves de vitamine B12 (malgré les réserves du corps qu'ont les gens qui se nourrissent convenablement du point de vue de la santé corporelle humaine).
Sur les groupes
L214
Il est contre le fait de féliciter et encourager à juste moins exploiter et/ou à moindre dégrée. Il est donc contre ce que Gary Francione nomme la position "néo-welfariste". En conséquence, il n'est pas en faveur de L214, Cependant il reconnait que cette association fait certaines bonnes actions, comme son site web Vegan Pratique.
269 Libération Animale
Il trouvait intéressante la stratégie d'origine de l'association 269 Libération Animale, manifestement pensée par Tiphaine Lagarde. En effet, elle est pacifique et dénonce globalement l'exploitation des animaux non-humains. De plus, il n'y a pas la promotion de petits pas comme suffisants ou à féliciter. Toutefois, il ne pense pas qu'il soit pertinent qu'elle soit dominante au sein du paysage, à part peut-être dans le cadre de l'étape formelle et qualitative d'imposition du zoovéganisme à l'échelle de la société. Par ailleurs, il la trouve élitiste, car légalement risquée pour les militant·e·s, mais aussi fébrile au niveau de l'organisation pour cette même raison, mais c'est aussi ça, l'illégalisme à visage découvert pour au moins une ou quelques personnes, qui peut contribuer à faire de l'agitation médiatique d'une manière qui politise la question et donc la sorte d'un mode de vie individuel que chacun pourrait adopter ou non dans une logique anthropo-centrée ou libertarienne de la liberté vis-à-vis des animaux non-humains.
Parti Animaliste
D'une manière générale, il n'aime pas trop le centralisme, or les partis le sont souvent, de par notamment la volonté d'avoir la même ligne partout. De plus, de par le principe de l'élection de personnes permanentes, qu'il considère un problème en lui-même (comme il est aisé de le constater avec celleux qui dévient ou sont hors sol), qui serait résolvable via le remplacement par l'auto-gestion directe autant que possible et institutionnelle pour l'énorme reste (donc par la prise de décision en assemblée générale et via la délégation par mandat impératif tournant pour monter à l'échelle). Pour ne rien arranger, ça fait un terrain favorable à la personnification, qu'il n'apprécie pas du tout et lui semble un danger politique de concentration de pouvoir, d'autant plus avec un système médiatique qui y pousse.
Au-delà de la forme parti et des inconvénients qu'il y trouve, il pense qu'il faudrait que le programme du Parti Animaliste inclut les préoccupations humaines ne concernant pas les animaux non-humains ou indirectement et souvent involontairement. Il a pour cela plusieurs raisons. Elles ont à voir avec la vocation du parti à ne se prononcer que sur les animaux non-humains (du moins au moins jusqu'en 2020 inclus). L'une d'elle est qu'il est humain et qu'il a ses petits intérêts (qui incluent les animaux non-humains, mais c'est loin d'être exclusif), ainsi évidemment car les partis dans le système juridique français de son époque sont questionnés sur tout et ne peuvent l'être que sur une thématique particulière. Un autre reproche qu'il fait au parti est sa stratégie, puisqu'il est pour le moins peu probable d'arriver à son but de lui-même et ne peut donc au mieux que l'accompagner, puisque sa concentration exclusive sur les animaux non-humains lui semble non-adéquate pour devenir majorité, car il lui semble bien dur d'accorder à large échelle d'abord et seulement de la priorité aux intérêts ou supposés intérêts directs d'autres avant les siens directs jugés importants. De plus, aucune ligne claire sur le but final ne semble exister ou même se dégager (notamment abolition ou welfarisme ?), ce qui lui pose problème en tant que tel (même si ce serait probablement au pire moins pire que les autres partis pour la prise en compte des intérêts des animaux non-humains ou plutôt ce qu'il considère à tord ou à raison comme l'étant) et serait probablement selon lui un terreau bien fertile à une scission (qui créerait probablement une zizanie, alors que le problème pouvait être identifié à priori) si un jour le parti devenait électoralement fort.
Actualités
- Depuis au moins 2016, Nicola Spanti envisageait le végétarisme, parce qu'il avait très vaguement entendu que c'était moins prédateur sur l'environnement. Dans cette même année, il essaya des produits de substition et les utilisa pour réduire un peu sa consommation de viande. De plus, il découvrit qu'il était possible de faire des burgers végétaliens (alors qu'il n'envisageait pas comme possible de faire des burgers végétariens) et en testa quelques uns qui l'ont agréablement contenté gustativement.
- Pendant la première partie de l'année 2017, il décida de se renseigner sur le véganisme dont il avait vaguement l'apriori que c'était plus différent que le végétarisme (par rapport à l'omnivorisme qu'il pratiquait sans y avoir réfléchi). Il découvrit la vidéaste Antastesia. Parmi les auteur·e·s qu'elle conseillait sur l'animalisme, il y avait Gary Francione qu'elle décrivait comme bien et radicale. Nicola s'était rendue compte qu'il avait tendance à finir par avoir un avis significativement différent de l'idéologie dominante dans certains domaines (comme le logiciel libre, la vie privée, ou le capitalisme). Il s'est donc dit qu'il serait peut-être bon de commencer par un point de vue significativement différent de l'idéologie dominante, puis d'en explorer d'autres qui le soient moins si le raisonnement lui semblait erroner.
- Pendant la première partie de l'année 2017, il a lu "Petit traité de véganisme", un livre qui est une traduction de "Eat Like You Care: An Examination of the Morality of Eating Animals" de Gary Francione et Anna Charlton. Cela l'a convaincu de devenir végétalien, mais il avait au début peur que ce ne soit pas viable pour la santé ou trop compliqué. Le raisonnement du livre l'a également amené à considérer que certains exploitations des animaux non-humains qui ne sont pas liés à l'alimentation ne sont pas moralement justifiables (comme l'usage pour les vêtements et cosmétiques). Il lui restait des doutes pour d'autres usages des animaux non-humains, notamment pour les tests pour la médecine, mais également dans une moindre mesure pour d'autres aspects comme les animaux de compagnie, les zoos et les cirques.
- Il a eu envie d'appronfondir la pensée de Gary Francione, ce qui l'a poussé à lire le seul autre livre de cet auteur traduit en français à cette époque. Il s'agissait de "Introduction aux droits des animaux". Cette lecture l'a convaincu d'être en faveur de l'abolition de tous les usages des animaux non-humains, à moins que ce soit nécessaire à la survie, et sans pour autant éliminer l'éventualité de coopérations qui devraient être volontaires pour tous les individus (humains et non-humains) et sans coercition (directe ou indirecte) des individus coopérants (mais qui pourraient être poussés à coopérer à cause d'une coercition extérieure qu'aucun des individus n'aura consciemment contribué à créer ou renforcer, comme des problèmes climatiques qui pourraient pousser à une entraide mais sans domestication ou autre logique d'exploitation d'aucun des partis). En toute logique, il a donc conclu qu'il avait le devoir moral (minimal) de devenir végane.
- En milieu d'année 2017, il était devenu végétalien (mais il ne se préoccupait pas des éventuelles traces), cependant il n'était pas encore végane (pair de chaussures avec du cuir, portefeuille en cuir, selle de vélo avec du cuir, pas d'attention sur le filtrage des jus de fruits qui peut être fait avec de l'œuf ou un autre composé animal, pas de vérification des additifs alimentaires en EXXX comme la vitamine D parfois ajoutée aux céréales ou E441 qui est de la gélatine et est issue de la peau et des os de porcs ou de bovins, savons avec potentiellemt du tallowate de sodium qui est extrait de graisses issues des corps de bovins, crèmes solaires probablement testées sur des animaux non-humains, non demande dans les restaurants si les pâtes alimentaires et pâtes à pizza incorporent de l'œuf, etc.).
- En novembre 2017, il initie une encyclopédie libre sur l'animalisme.
- En septembre 2018, il publie sur son site web un article nommé "Une personne vétérinaire étrange, mais paradoxalement probablement bien commune".
- En juin 2019, il publie sur son site web un article nommé "Réflexions sur le végétalisme en lien avec l'avis 2019 de l'Académie Royale de Médecine de Belgique".
- En novembre 2022, en réaction au projet de loi porté par Aymeric Caron visant à l'abolition de la corrida dans le territoire de la république bourgeoise de France et des prévisibles pensées qu'il provoque, il publie sur son site web un article nommé "La corrida n'est pas un problème". Initialement, il était prévu qu'il ait un titre plus provocateur : "Oui à l'exploitation et au meurtre : oui à la corrida !".
- En début décembre 2022, sur son site web, il publie "Un chat dépecé en direct : et alors ?". C'est une réaction à un événement médiatique faible et avant tout aux réactions provoquées par l'acte.
- Vers fin décembre 2022, sur son site web, il publie "Anne Stambach-Terrenoir, fan de l'ovosexage".
- À la toute fin décembre 2022, sur son site web, il publie "Le Gaulois : L214, partisan de l'exploitation".
- En janvier 2023, sur son site web, il publie "La SNCF a tué un chat et ce n'est pas un scandale". L'événement en question a été relayé entre autres par 20 minutes et Le Figaro.
- En mars 2023, sur son site web, il publie "La traditionnelle merguez de la CGT : sa retraite se fait attendre aussi…".
- En début juillet 2023, sur son site web, il publie "La revue L'Amorce et Michael Huemer, espècistes".
- En presque fin juillet 2023, sur son site web, il publie "L'abattoir Galliance d'Ancenis et les associations welfaristes".
- De fin juillet à aout 2023, sous forme web, il écrit et publie plusieurs articles :
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En septembre 2023, sur son site web, il publie
"L'appellation
steak végétal
: un orage pour pas grand chose" et "Appel sans suite : l'élevage intensif". - En octobre 2023, sur son site web, il publie "Les zoonimaux ne comptent pas pour Révolution Permanente".
- En janvier 2024, sur son site web, il publie "Interdire la viande de chien, ou comment faire du sur place" et "Decathlon et les poissons : une énième campagne creuse".
- En mai 2024, sur son site web, il publie "Courtes thèses pour une organisation à dominante francionienne".
- En juillet 2024, sur son site web, il publie "Les crevettes ou la sentience ?" puis "L'exploitation, mais dans les règles de l'art" et enfin "Quel est le problème ?".
- En début octobre 2024, sur son site web, il publie "La déclaration de New York : redondante, mais courte".
- En mi-octobre 2024, sur son site web, il publie "Saumon, secondaire tu es".
- En décembre 2024, sur son site web, il publie "L214, végétarisme et bien-êtrisme" et "Réunion et Mayotte : espècisme et colonialisme".
- En janvier 2025, sur son site web, il publie "Jean-Marie Le Pen et le suprémacisme de bien de ses opposant·e·s" et "Feminuary : ça vous dit ?".